Qui SUIS-JE

J’ai eu plusieurs carrières dans ma vie et j’en aurai certainement d’autres. 1er d’une fratrie de 3 dont une soeur en situation de handicap. Marié pouis divorcé et Papa solo en garde alternée de 2 enfnats pendant 15 ans. Et côté profesionnel, j’ai commencé ma carrirère modestement comme technicien, en bout de carrière indistrielle, j’ai été chef de projet pour une entreprise américaine où j’ai travaillé avec des américians, allemands, anglais, chinois, indiens. J’ai compris à ce moment que ce n’était pas nos compétences techniques qui nous permettaient d’atteindre les objectifs mais nos capacités à travailler ensemble, à s’écouter, s’entendre et pousser plus loin l’idée de l’un pour en faire une réussite commune. Mes chemins professionnelles et personnels ceux sont alliés. En début de carrière j’ai assez différent entre le pro et le perso. En travaillant sur moi, sur mes difficultés, j’ai fait évoluer ma relation avec mes enfants, j’ai changé mon rôle de père et j’ai fait évoluer ma relation professionnelle à mes collégues, j’ai changé de carrière.

De ma vie personnelle, j’ai gagné en plaisir et en fluidité, je suis devenu moins contrôlant donc plus serein. C’est d’ailleurs fascinant de voir avec le recul que le contrôle qui chercher à rassurer entretien la peu que l’on combat. Et j’en ai gagné l’expérience de ce que peut être changer sa vie. Je sais les difficultés, mais je sais les cadeaux que l’on peut se faire en ouvrant la porte à ses sensibilités, à ses vulnérabilités. La porte peut être difficile à ouvrir, tellement nous avons peur de l’ouvrir.

Côté professionnelle, je suis moins à me poser des questions sur ce que je vaux, sur qui je suis, qu’est ce que je peut apporter. Cela n’est pas dû à mon métier d’aujourd’hui (formateur et coach) mais à qui je suis. Si je redevenais chef de projet aujourd’hui, j’exercerai ce métier complétement différement, avec plus de communicaiton et moins d’anxiété. Il est parfois difficile de savoir ce qui ne va pas :  est ce que c’est mon métier, le milieu dans lequel j’exerce mon métier, ma façon appréhender mon métier ou le métier en lui même qui ne me corespond pas ou plus.

J’ai exploré par différentes thérapie, approche, courant, et j’ai appris à voir que ce que je voyais n’était pas la réalité, mais juste ma façon de voir les choses. J’ai compris que ce qui m’animais, les émotions, étaient des indicateurs de mes sensibilités mais pas des « erreurs » à contenir. J’ai appris que être un homme n’est pas d’être celui qui sais pour les autres, qui sais montrer sa colère et écraser tout le monde. J’ai compris que être un homme, c’est être bien en soi pour être bien avec les autres, c’est vouloir imprimer du changement sans vouloir l’imposer, c’est faire avec les autres, faire équipe (ce que je fais dans mon couple comme avec mes enfants, comme dans ma vie proffesionnelle) et avancer plus loin, plus consciengt et plus cohérent que tout seul.

formationS

COMMUNICATION NON VIOLENTE

Je suis formé au 3 premiers module de la Communication Non Violente, celle-ci fut très riche. Je suis devenu responsable de mes mots mais aussi de ma façon de recevoir les messages émis vers moi. Marshall Rosenberg, l’initiateur de cette méthode de compréhension de la communication a posé un processus qui comprend l’observation sans jugement de ce qui est, le sentiment que cela peut éveiller, le besoin que cela révèle et la demande si le terrain est propice.

Coaching SYSTEMIQUE

Je suis formé aux fondamentaux du coaching systémique. Le rôle d’un coach est d’être un observateur participatif de son client. Ainsi, il doit accompagner le client sur son chemin, en réflexions. Grâce aux différents schémas qui se dessinent au travers de l’accompagnement, des échanges, le coach créé propose des prises de consciences et accompagne son client pour découvrir et créer de nouveaux processus.
Je suis certrifié certificaté ICF (ACC), organisation internationale de coach. L’inscription et la certification implique le respect d’un code de déontologie prouvant le professionnalisme de ma démarche de coach.

Médiations

Le conflit est anxiogène, nous le fuyons, fermons les yeux, le mettons sous le tapis en se disant que nous allons vite oublier. Mais il peut aussi être considéré comme un cadeau, l’occasion d’apprendre sur soi et sur les autres et de prendre conscience que l’on peut faire autrement. Le système restauratif, établi par un groupe, permet de définir les règles en cas de conflits plutôt que de laisser de côté la situation. C’est un processus responsable. Il peut être complété par un cercle restauratif (Dominique Barter).

Inspirations de lectures