Le chevalier à l’armure rouillée

L’histoire est simple, le livre est court, mais j’ai pris le temps de le lire, et de le relire. Ce livre fait partie, comme tous d’ailleurs, de ceux que l’on peut relire tout en le lisant différemment et en en tirant quelque chose de nouveau.

L’armure est ici la carapace que l’on se met pour se protéger, certaine fois on ne sait plus de quoi, mais on se protège, un vieux réflex animal de l’enfance souvent. Cette carapace est à la fois confortable, c’est une zone de confort bien protégé, mais étouffante, elle ne laisse plus l’air rentrer, ne nous laisse plus rester souple face aux nouveaux événements. Alors il faut apprendre à la déposer, c’est la métaphore qui est proposé dans ce livre.