J’aurai aimé rencontrer Guy Corneau, pour discuter de cette relation père fils, de ce qu’elle apporte en positif et négatif, de la responsabilité d’être père. Nos enfants nous apprennent qui nous sommes, et ce n’est pas toujours facile à accepter mais quel bonheur de pouvoir dépasser nos failles douloureuses, pas que ce soit facile à faire, mais que c’est plus facile à vivre après, bien plus facile qu’avant. Soutenir nos enfants sans les écraser, montrer nos vulnérabilités d’homme (oui, oui, les hommes aussi en ont !), et ne pas chercher, par l’ego, la force, à éteindre ce qui est vivant chez nos enfants, de peur qu’ils ne soient pas assez « forts » pour vivre.